Note : Almoline est aujourd’hui revenue au ciel après plusieurs vies sur terre durant lesquelles elle a parcouru son chemin vers la Sagesse. elle a accepté de témoigner pour nous.

Etel : Tout d’abord, je veux vous remercier de venir témoigner de votre expérience. Ma première question sera la suivante : Vous avez terminé votre chemin de sagesse et vous êtes revenue au ciel pour toujours. En quelle année terrestre êtes vous remontée au ciel et comment avez vous vécu ce retour définitif ?

Almolise : Je suis revenue en 2018, j’avais terminé mon chemin de sagesse comme vous l’avez dit. Mon retour définitif s’est très bien passé mais je dois dire que cela m’a fait un peu bizarre de revenir définitivement.

Etel : Vous pouvez préciser ?

Almolise : Oui. Entre chaque vie je revenais au ciel et je m’y trouvais bien mais j’étais en transit en quelque sorte. J’étais occupée à faire l’évaluation de mes acquis puis à préparer ma vie suivante. Finalement, j’étais toujours liée à la vie sur terre. Lors de mon retour définitif, tout a changé. J’étais là pour toujours et mon regard sur le ciel a changé.

Etel : En bien ou en mal ?

Almoline : Ni l’un ni l’autre. Cela devenait tout simplement ma nouvelle vie. Celle pour laquelle j’avais avancé sur mon chemin de sagesse. Il y a des codes, des habitudes que je n’vais pas eu le temps d’acquérir pendant mes entre-deux vies. Là, il a fallut que j’apprenne ces codes, ces coutumes, ces comportements. J’étais comme une émigrée qui revenait dans son pays d’origine mais qui en avait perdu les codes.

Etel : Est-ce que vous étiez là lors de la révolte des âmes ?

Almoline : Non. Je suis née après. Mes parents sont des archanges du premier ordre et je n’ai pas connu l’époque où le chemin de sagesse se faisait complètement dans le ciel. Pour moi, m’incarner sur Terre a toujours été la voie normale pour revenir définitivement.

Etel : En quelques mots puis nous irons plus dans le détail. Comment décririez vous votre apprentissage dans le chemin de sagesse sur Terre ?

Almoline : J’ai trouvé ça intense. Les vies terrestres sont riches d’expériences et de surprises. Mon but était d’avancer le mieux possible à chaque vie mais ce n’était quelquefois pas facile.

Etel : Quel genre de difficultés par exemple ?

Almoline : Quand on s’incarne dans un être humain, la première des difficultés est de se synchroniser au mieux avec sn esprit pour qu’il puisse prendre en compte votre chemin de sagesse pendant qu’il mène sa vie.

Etel : Car c’est toujours l’esprit humain qui a la main ?

Almoline : Oui, toujours. L’être humain est un être à part entière et nous les âmes sommes des pièces rapportées. Nous essayons de faire symbiose avec l’esprit humain mais quelques-uns sont réfractaires.

Etel : Avez-vous identifié les caractéristiques particulière qui faisait qu’un esprit était plus ou moins enclin à coopérer ?

Almoline : Je pense que c’est essentiellement biologique. La synchronisation est une question de vibrations. Certains esprits vibrent seuls et ne peuvent tout simplement pas se synchroniser avec une vibration extérieure. Quand on choisit l’être dans lequel on va s’incarner, on ne peut pas savoir comment son esprit sera. On choisit ses parents, son milieu social, la position géographique etc … Mais l’esprit de l’être humain, ce n’est qu’une fois incarné que l’on voit si ça fonctionne.

Etel : A quel moment de la vie de l’être humain est-ce qu’un âme s’incarne ?

Almoline : Généralement pendant la gestation et assez tôt. Cela permet justement de se synchroniser avec l’esprit humain. Mais même s’il est en formation, un esprit peut être réfractaire et ne pas vibrer, ou très difficilement, avec son âme.

Etel : Comment cela se passe-t-il pour l’âme ?

Almoline : Cela fait une vie difficile. Avec un peu de chance, l’esprit peut choisir de lui-même le chemin de vie qui permettra à son âme de progresser. Mais si ce n’est pas le cas, la vie est perdue pour l’âme.

Etel : Cela vous est arrivé ?

Almoline : Oui, une fois totalement, et quelquefois où la synchronisation était imparfaite. Ce ne sont pas des souvenirs agréables.

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